Réagissant au communiqué de LUKOIL qui envisage de céder ses actifs en Bulgarie, le ministre des Finances, Assen Vassilev a tenu à rassurer qu’il n'y avait aucun risque pour que la Bulgarie se retrouve privée de carburants.
Force est de constater que sur son site, la compagnie russe indique que "la reconsidération de sa stratégie est la conséquence logique de l'adoption par les autorités bulgares de lois discriminatoires et autres décisions politiques injustes à l'encontre de la raffinerie, qui n'ont rien à voir avec les régulations civilisées, propres au grand business".
Assen Vassilev n'a pas caché sa joie de l'annonce faite par LUKOIL. "Comme vous le savez, nous avions déjà anticipé cette décision en recevant, dès le mois de septembre, des informations qui l'indiquaient. Chaque compagnie est libre de choisir ce qu'elle fera de ses actifs propres et dans quel pays elle va se positionner", a ajouté Vassilev.
Toujours est-il que par le biais du représentant bulgare dans la compagnie LUKOIL, il faut garantir le fonctionnement ultérieur de la raffinerie à Bourgas avec un investisseur stratégique qui défende ses intérêts.
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