«Nous n'avons besoin d'aucun intermédiaire. Personne ne connaît notre histoire mieux que nous. » Cela a été dit lors d'un point presse à Rome par le président Roumen Radev en réponse à une question sur les informations selon lesquelles le Portugal a proposé que des historiens de l'UE participent à la Commission bulgaro-macédonienne sur les affaires historiques. Il a souligné que les progrès dépendent du dialogue bilatéral. «C'est à nous d'avoir un dialogue franc et constructif, basé sur des documents et des sources historiques. Les mesures que nous devons prendre ne passent pas par les autres capitales européennes et de là à exercer de la pression sur la Bulgarie. En aucun cas », a déclaré le président Roumen Radev. Selon lui, une solution durable et irréversible aux problèmes avec la Macédoine du Nord doit être recherchée.

"Je suis convaincu qu'avec nos amis de la République de Macédoine du Nord, avec lesquels nous partageons un espace spirituel commun au fil des siècles, nous avons la détermination de partager un avenir commun dans une Europe unie", a déclaré le président bulgare.