Le président Roumen Radev a critiqué le gouvernement lui reprochant de ne pas avoir réussi à peaufiner la proposition bulgare sur la Macédoine du Nord, préférant déposer la proposition française et rejetant l'entière responsabilité de la decision sur l'Assemblée nationale, faute d'une position bien verrouillée. "Le premier ministre n'est pas un coursier, mais le premier des ministres", a indiqué Radev lors d'un point presse. A ses dires, l'inscription des Bulgares dans la Constitution de la Macédoine du Nord avant l'ouverture des négociations d'adhésion est une condition sine qua non, mais elle ne suffit pas. Quant aux propositions de la présidence française de l'UE, il les a qualifiées de pas en avant, tout en soulignant que beaucoup d'autres aspects doivent être précisés avant de songer à lever le veto. Il s'agit notamment d'une éradication de la politique de débulgarisation, de vol et de falsification de l'histoire bulgare, de la préservation du patrimoine culturel et historique bulgare, sans oublier de mettre un terme au discours de la haine. "J'attends du gouvernement bulgare qu'il éclaircisse et précise toutes ces questions, dans le respect des mécanismes clairs et des garanties pour la défense des intérêts bulgares", a indiqué Roumen Radev.
Quelques minutes avant l’examen en deuxième lecture du projet de budget 2026 qui devait avoir lieu au parlement, Boyko Borissov, chef de file du plus grand parti au parlement, GERB, a déclaré que le projet de budget pour 2026 ne lui convenait pas et..
"Le dialogue avec les syndicats et le patronat est rétabli. Dès demain, une série d'entretiens est prévue au ministère des Finances, pour peaufiner tous les détails du projet de budget 2026. L’État sera au service de chaque Bulgare". C'est ce qu'a posté sur..
Le leader de GERB, Boyko Borissov a déclaré que le projet de budget pour 2026 ne lui convenait pas et qu’il sera gelé. Devant les journalistes, Borissov a déclaré que le Conseil de gouvernance collective, le premier ministre et la ministre des..