Alors que la Pologne, la Hongrie, la Slovaquie, la Roumanie et la Bulgarie ont récemment pris la décision d’interdire unilatéralement les importations de céréales et d’autres produits agricoles ukrainiens, au motif qu’ils pénalisaient leurs agriculteurs nationaux, du fait des stocks énormes accumulés, la CE a proposé à ces États membres d’arrêter les flux de maïs, blé, tournesol et colza en provenance d’Ukraine jusqu’au 5 juin, sauf pour les produits appelés à être réexportés vers d’autres pays. Une enveloppe de 100 millions d’euros a aussi été mise sur la table pour venir en aide aux producteurs de ces pays. Cette somme s’ajouterait aux 56,3 millions octroyés fin mars sur la réserve de crise de la politique agricole commune.
Rappelons que vendredi dernier, les 27 ont donné leur feu vert au renouvellement, jusqu’à juin 2024, de la suspension des droits de douane sur tous les produits ukrainiens importés dans l’UE. Cette question n’a pas fait l’objet d’un vote formel, mais aucun État membre ne s’y est opposé. Le Parlement européen doit aussi valider cet accord, lors d’un vote prévu courant mai. La suspension des droits de douane avait été mise en œuvre en juin 2022 pour soutenir l’économie de l’Ukraine.
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