"Tant que les revenus moyens de la population bulgare n'ont pas atteint 80% de la moyenne européenne, nous n'avons rien à faire dans la zone euro, car elle entraîne une poussée inflationniste, pour laquelle la Bulgarie doit être préparée". Tel est l'avis de Guéorgui Kadiev, ancien vice-ministre des Finances, représentant de "la Gauche", exprimé sur la RNB. Toujours est-il que la Bulgarie avance dans le bon sens et a déjà atteint 64% de la moyenne de revenus européens. "Nous sommes dans la liste grise pour le blanchiment d'argent, une raison suffisante pour qu'on nous refuse l’entrée dans la zone euro. Nous n'avons pas non plus de gouvernement régulier. A quoi bon dire alors que nous sommes prêts pour la zone euro?", a indiqué Kadiev en commentant les propos du gouverneur de la Banque nationale de Bulgarie qui estime que 2025 pourrait être l'année du passage à l'euro. "Si je devais parier, je miserais plutôt sur 2027, sans que cela signifie que nous devons rater le coche de 2026", a ajouté Guéorgui Kadiev.
De la crainte et des doutes à la joie et au soutien : les Bulgares réagissent différemment à l’introduction de l’euro attendue le 1 er janvier 2026. Pour certains c’est un pas logique dans notre intégration à l’UE avec des promesses de stabilité..
"La Bulgarie ne devra pas aller à la rescousse de pays en difficultés de la zone euro". C'est ce qu'a déclaré à la RNB Liliana Pavlova, ancienne vice-présidente de la Banque européenne d'investissement. "Les accords que nous signons et les clauses..
Le ministère des Innovations et de la croissance investira près de 115 millions d'euros en 2026 dans une infrastructure nationale de communications satellitaires sécurisées et dans des projets conjoints entre les milieux d'affaires et les milieux..
Pluie
Averses